La simplicité volontaire, vous connaissez? Consultante en entreprise, Elisabeth Laville évoque dans son ouvrage une idée que l’on trouve rarement dans ce milieu : qu’on peut consommer moins, mais mieux, et que les consommateurs comme les entreprises ont leur rôle à jouer pour rénover le système et lutter contre le réchauffement climatique et la dégradation de notre environnement.
Epinglant la “société de consolation” et décortiquant nos mécanismes de déni, elle analyse cinq marchés emblématique de cette société du “prêt à jeter” : la mode, les médicaments, l’électronique grand public, l’alimentation et la viande en particulier, pour montrer les impacts du système actuel, et les alternatives possibles.
Journées sans viande à Gand, “familles à énergie positive à Lyon”, Time dollars à New York : plusieurs initiatives réelles et crédibles sont présentées qui permettent de dessiner les contours d’un modèle de” commerce” (au sens où chacune des deux parties peut dire “merci”) plus équitable entre producteurs et consommateurs.
À consulter à la BU Bouguen, cote 658.834 LAV